Jean-Jacques Goldman a pris ses distances avec les caméras médiatiques il y a plusieurs années. À l’occasion d’un récent entretien pour Le Parisien, son acolyte Jean Bender annonce que l’auteur-compositeur-interprète avait déjà planifié sa fin de carrière… et ce, dès ses premiers pas dans la musique.
Une carrière toute tracée ?
Jean-Jacques Goldman est un chanteur plutôt réservé. Un trait de personnalité qui s’est confirmé il y a plusieurs années lorsqu’il a pris la décision de se retirer des médias. À 70 ans, l’artiste ne semble pas pressé de retrouver ses fans sur scène. Selon nos confrères de Progrès, il a fait part de sa tournée d’adieu il y a quelques jours. À ce propos, le mari de Nathalie souligne : « Je suis navré de la tristesse que cette absence peut engendrer. Je sais que la scène nécessite de l’énergie, du désir et je ne peux plus le faire ».
Quoi qu’il en soit, le musicien continue de composer pour d’autres artistes. Selon les confidences d’un proche, c’est comme ça qu’il a mis fin à sa carrière musicale dès le départ. Dans le cadre de la campagne de son ouvrage baptisé « Il suffira d’un signe », Jean Bender s’est livré dans les colonnes de Parisien. Il affirme que dans les années 80, avant la sortie de son premier opus, l’interprète de « Là-bas » lui a annoncé son projet visionnaire.
« Si un jour, mes titres sont diffusés, je suis convaincu qu’ils vont avoir un succès sans précédent. Je m’entourerai plutôt d’autres chanteurs afin de ressembler plus à un musicien qu’à un artiste vedette. Très vite, je vais écrire pour les autres. Ensuite, je mettrai un terme à ma carrière ».
« Je me range des véhicules… »
En 2003, avec 4 lives et 30 millions de disques écoulés à son palmarès, Jean-Jacques Goldman a transmis un message troublant à son acolyte Jean Bender. « Je me range des véhicules, retraite à 52 ans méritée ! Je travaille encore pour quelques vieux amis et je pars en vacances (…) » explique ce dernier. Quelques années après, les admirateurs du célèbre chanteur français regrettent sa présence, sous les feux des projecteurs…
