Anne-Claire Coudray n’est plus une figure à présenter aux fidèles téléspectateurs de TF1. Par le passé, Marine Le Pen aurait par tous les moyens tenté de la virer à l’occasion d’un débat politique. En 2017, au micro d’Europe 1, la journaliste a brisé le silence sur le sujet.
Anne-Claire Coudray : un parcours mouvementé
Mardi dernier, Anne-Claire Coudray a soufflé ses 45 bougies. L’animatrice a aujourd’hui réussi sa carrière à l’écran grâce à l’univers du journalisme. Mais la vie n’était pas toujours aussi rose pour la jolie blonde. En 2017, elle a dû faire face à une épreuve difficile. À l’époque, la compagne de Nicolas Vix devait animer le débat opposant le chef d’État Emmanuel Macron à Marine Le Pen.
À l’antenne, les deux candidats à l’élection présidentielle ont, chacun à leur tour, défendu leurs arguments. Le programme était diffusé sur TF1 et sur la seconde antenne. À la suite d’une série de vifs échanges, Nathalie Saint Cricq, chargée du service politique de France 2 et Christophe Jakubyszyn ont finalement été sollicités pour mener les commandes du débat.
À l’époque, les bruits ont couru selon lesquels Anne-Claire Coudray pouvait être aux contrôles du rendez-vous politique. Lors du premier tour, la mère de famille avait orchestré un débat en compagnie de Gilles Bouleau. Hélas, les deux confrères ont essuyé de vives critiques sur les réseaux sociaux. Les haters considèrent qu’ils ont été trop exigeants envers la candidate du FN.
« Le Front National a mis son veto »
En avril 2017, Le Parisien avait rapporté qu’Anne-Claire Coudray ne serait pas aux manettes de l’entre-deux tours. Et pour cause, la partie de Marine Le Pen est restée perplexe quant à son professionnalisme. Comme le rapportait la publication à l’époque : « Le Front National a mis son veto ». Mais ce n’est pas tout. La candidate aurait eu du mal à digérer le supposé « macronisme » de l’animatrice.
Des rumeurs auxquels la principale intéressée n’a jamais réagi. Selon Télé Star, la quadragénaire a fini par sortir de l’ombre lors de sa prise de parole au micro d’Europe 1. La journaliste a confié qu’elle n’était au courant de rien au sujet de ce supposé veto. De son côté, Christophe Jakubyszyn a assuré n’avoir jamais eu vent des projets du Front National…