L’heure du départ a sonné pour Karine Le Marchand dans « L’amour est dans le pré ». Voici les confidences exclusives de l’animatrice à la suite de cette décision.
Alors que M6 lancera une nouvelle saison de L’amour est dans le pré d’ici quelques jours, Karine Le Marchand a accepté de se confier dans les colonnes du magazine TV 7 jours. L’animatrice revient sur la fois où elle avait quitté le programme à succès de La Six…
De grosses nouveautés pour la nouvelle saison
Cette année, la production de L’amour est dans le pré a décidé d’opérer de nouveaux changements. Au cours de la dernière édition, l’émission a mis en lumière une demande en mariage gay pour la toute première fois. À ce propos, l’animatrice de 53 ans a confié : « Je suis fière qu’on valorise les sentiments, les relations durables (…) ».
Parallèlement à cette évolution, cette année, les téléspectateurs retrouveront des couples d’agricultrices de femme avec une femme. « L’exemple de Mathieu et Alexandre l’an dernier prouve que le public est très réceptif à l’idée que deux hommes (ou deux femmes) peuvent s’aimer librement devant les caméras », souligne la meilleure amie de Stéphane Plaza. En onze ans de carrière, la jolie brune en aura vu de toutes les couleurs dans le programme à succès de M6.
Force est de constater que dans cette émission, Karine Le Marchand se sent comme un poisson dans l’eau. Pourtant, la mère d’Alya est consciente que chaque chose a une fin. Un jour ou l’autre, elle devra quitter les commandes de L’amour est dans le pré et céder sa place. Interrogée sur le sujet, la présentatrice s’est laissée aller à la confidence.
« Je vais être dure à remplacer »
Karine Le Marchand conserve toujours une belle complicité avec les candidats de l’émission. L’animatrice ne cesse de démontrer qu’elle est très investie dans son rôle de Cupidon dans l’émission. Elle insiste également sur sa capacité à être indépendante et son trait de caractère débrouillard. « Je n’ai ni auteur ni cahier de vannes. Je m’adapte aux éventuels rebondissements (…) Je vais être dure à remplacer », précise-t-elle, avant de conclure : « Je ne veux pas rendre mon tablier, mais un jour ou l’autre, cela va arriver »..