Dimanche dernier, les téléspectateurs de TF1 ont pu suivre un nouvel épisode de Sept à huit. L’émission a été marquée par le portrait de la semaine, mettant en avant le chanteur Eddy Mitchell. L’occasion pour ce dernier de régler ses comptes avec Laeticia après le décès de son acolyte, Johnny Hallyday.
Eddy Mitchell à l’honneur sur TF1
Au cours de cette soirée, Eddy Mitchell est revenu sur la complicité qu’il a partagée d’antan, avec son vieil ami, Johnny Hallyday. À ce propos, l’interprète de « Sur la route de Memphis » confie : « Johnny était le parrain de ma fille Pamela et j’étais le parrain de Laura. Je la vois de temps à autre et on n’a jamais cessé de rester en contact ».
L’invité du jour profite également de l’occasion pour révéler quelques anecdotes concernant les jours qui ont précédé la disparition tragique du Taulier. « Je l’ai vu à plusieurs reprises avant son décès. Il n’y a jamais eu de problèmes avec la famille », souligne-t-il en faisant référence à la veuve du chanteur.
Les bruits courent selon lesquels la mère de Jade et Joy aurait interdit aux enfants aînés de Johnny de le voir avant sa mort. C’est d’ailleurs ce qui expliquerait les tensions entre la jolie blonde de 46 ans et ses beaux-enfants (David et Laura). Sur Twitter, la production a annoncé : « #EddyMitchell se livre sur Johnny, son frère, dans “Le Portrait de la Semaine” dès 18 h 20 ».
« Tout cela ne m’intéresse pas… Je trouve ça morbide. »
Au cours de sa prise de parole, Eddy Mitchell a confessé : « Johnny n’en avait rien à faire de son héritage. Les efforts de Laeticia pour lui rendre hommage, ses opus posthumes, sa statue, il s’en fout complètement », précise-t-il. Le chanteur enchaîne en ajoutant : « Tout cela ne m’intéresse pas ». À la suite de ces aveux, Audrey Crespo a demandé « Ça vous dérange ? ». Ce à quoi le principal intéressé a répondu : « Ça ne me fait rien. Ils font comme bon leur semble ».
Et le compagnon de Muriel Bailleul d’ajouter : « Ils peuvent même le mettre avec une plume dans le cu*, ça m’est égal. Je trouve ça morbide ». À l’aube de ses 80 ans, le chanteur a indiqué avoir imaginé son épitaphe. Comme il le souligne : « Il n’y a pas de raison qu’après mon décès, on vient encore me faire chi*r ». Ça c’est dit !