Laeticia Hallyday et Jalil Lespert seraient-ils impliqués dans une affaire de détournement d’argent ? Eddy Mitchell soupçonne en tout cas le jeune couple…
Jalil Lespert et Laeticia Hallyday filent ensemble le parfait amour depuis moins d’un an. Mais voilà que le couple se retrouve dans la ligne de mire d’Eddy Mitchell qui les soupçonne de « détournement de fonds ». Le point à travers cet article !
Eddy Mitchell déballe son avis cash
L’artiste qui est aujourd’hui en pleine compagne de son dernier numéro lance de graves accusations contre Laeticia Hallyday et Jalil Lespert. Il soupçonne la veuve de Johnny de détourner une partie de l’argent récolté à l’issue de l’hommage rendu il y a quelques semaines au Taulier. Pourtant, lors de son passage dans Quotidien, la jolie blonde de 46 ans avait promis que l’intégralité des recettes allait être versée au profit d’une association humanitaire.
L’organisation en question œuvre dans la lutte contre le cancer. Pour rappel, le père de David Hallyday et Laura Smet est décédé des suites de cette grave maladie, en 2017. « À partir du moment où le public paie et les célébrités ne sont pas payées, ce sont les Restos du Cœur pour moi », a-t-il martelé dans les colonnes du Parisien.
Des confidences choc, reprises par la suite par nos confrères de France Dimanche. L’hebdomadaire met la lumière sur les tensions entre Laeticia et l’interprète de « Sur la route de Memphis ». Selon le magazine, ces brouilles datent de l’époque où l’Idole des jeunes était encore vivante.
« Mais bien sûr »
« Si les autres célébrités qui ont participé au concert-hommage n’ont perçu aucun salaire, c’est parce que les recettes générées devaient être versées à l’association. C’est la promesse qu’a faite Laeticia Hallyday sur le plateau de Yann Barthès », rappelle la publication.
Une générosité qui laisse Eddy Mitchelle perplexe. Ce dernier n’a pas hésité à faire une étrange réflexion lorsque l’argument de don a été avancé par la mère de Jade et Joy. « Mais bien sûr », a-t-il commenté à l’époque dans Le Parisien.
