Laeticia Hallyday a voulu profiter d’un moment de répit. En effet, la femme de 47 ans était aperçue à Saint-Tropez en compagnie de sa fille Joy et de Jalil Lespert. Cependant, le fisc lui est tombé dessus. Découvrez pourquoi.
Les dettes de Johnny étranglent sa femme
Si Laeticia Hallyday a gagné la bataille de l’héritage de Johnny Hallyday, elle n’a pas encore réglé les dettes qu’elle a également hérité. En effet, l’administration fiscale semble réclamer sa part. En effet, la veuve du rockeur doit éponger entre 30 et 34 millions d’euros de dettes. Jean-Claude Camus, producteur et directeur de théâtre français a certifié dans les colonnes de Ciné Télé Revue : « La situation de Laeticia et des deux petites n’est pas reluisante, elle se retrouve avec le fardeau de la dette fiscale et personne d’autre ».
Si elle a décidé de vendre une partie de son patrimoine immobilier, elle n’a pas encore réussi à vendre sa résidence de Marnes-la-coquette. “Elle ne m’intéresse pas. Elle est trop grande. D’après ce que j’ai vu avec la piscine, la cour de tennis et tout ça, ce n’est pas ce que j’aime. C’est trop chargé”, expliquait-elle au moment de sa décision. Laeticia Hallyday a également mis en vente sa maison de Los Angeles, où elle a passé de nombreuses années avec le regretté Johnny Hallyday. Tous les sacrifices de la veuve ont pour but de se libérer de l’épée de Damoclès sur sa tête.
Laeticia Hallyday à Saint-Tropez
Récemment, la veuve du Taulier s’est « offert une balade sur le charmant petit port, en compagnie de sa fille Joy, de Jalil et de deux couples d’amis » à Saint-Tropez, écrit le magazine Closer, dans son numéro du 23 juin 2022. Le petit groupe a visité les endroits où Johnny Hallyday était attaché.
Laeticia Hallyday a voulu oublier tous ses soucis. « Loin de Marnes-la-Coquette où la maison de Johnny peine à se vendre et des agents du fisc qui lui font des misères. Car, pendant que la blonde de 47 ans bronze, ses lourdes dettes ne fondent pas au soleil, ni de Saint-Trop ni de Saint-Barth… Au point d’étrangler ses finances », confirmait la publication, en se basant sur les propos de Jean-Claude Camus.