Décidément, Laeticia Hallyday n’est pas du genre à pardonner facilement. Voici la raison pour laquelle la veuve du Taulier en veut toujours à mort à Anthony Delon…
Pour la fiancée de Jalil Lespert, il est tout simplement inconcevable de pardonner à Anthony Delon. Ce dernier avait en effet alimenté de fausses informations au sujet de la vie privée de Laeticia Hallyday. Raison pour laquelle la jolie blonde de 46 ans renonce catégoriquement à lui adresser la parole. Le point à travers cet article !
Laeticia Hallyday en froid avec Anthony Delon
À l’occasion des vacances d’été, Laeticia Hallyday profite de ses congés, en famille, avec son fiancé, Jalil Lespert. Comme à l’accoutumée, la mère de Jade et Joy se ressource sur l’île paradisiaque de Saint-Barth en cette période de l’année. Dernièrement, le réalisateur de 55 ans est parti en Jamaïque pour se débarrasser des cendres de sa regrettée maman. La mère de famille est décédée l’an dernier des suites d’un cancer de l’estomac. Un voyage que sa bien-aimée n’a pas pris la peine de commenter.
Une vidéo de ces derniers adieux a d’ailleurs fait le tour des réseaux sociaux. Sur Instagram, David Hallyday a pris soin de commenter la publication. Quant à sa belle-mère, pourtant très active sur les réseaux sociaux, elle n’a rien dit. Pour l’heure, elle est occupée à conserver une grosse rancune à l’encontre du fils d’Alain Delon. À la suite de cette affaire portant atteinte à la vie privée de la veuve, Anthony Delon se retrouve dans l’obligation de payer 12 000 €.
« J’ai mieux à faire que d’inventer des mensonges sur Instagram… »
« Ça fait trois ans », a-t-il mentionné en description d’une photo partagée par les magazines Public et VSD. Ces hebdomadaires reviennent sur les rapports entre Laeticia Hallyday et l’ex-manager de son défunt mari. « Honnêtement, vous croyez vraiment que je raconte des bobards pour aider David ? C’est pas sérieux. Je suis tombé sur ce cliché que j’ai commenté en fonction de ce que je sais. J’ai mieux à faire que d’inventer des mensonges sur Instagram, pour l’un ou l’autre camp », s’était-il indigné.