Alors que Laurence Ferrari a récemment été la cible de méchancetés gratuites, Pascal Praud n’a pas hésité à voler à sa rescousse. le point à travers cet article !
Cette semaine, une éditorialiste de France Inter a pris Laurence Ferrari pour cible. Face aux méchancetés gratuites dont la jolie blonde a été victime, Pascal Praud n’a pas pu rester sans rien faire. Zoom sur la réaction du journaliste de 56 ans.
Cette critique de Sonia Devillers qui ne passe pas…
Sonia Devillers travaille en tant qu ‘éditorialiste pour la chaîne France Inter. Dernièrement, elle ne s’est pas montrée très tendre avec Laurence Ferrari. Cette dernière reproche à l’animatrice de 54 ans son retour à Europe 1. Pour rappel, la mère de Elliott, Baptiste et Laëtitia s’est retirée avant de reprendre du service pour la chaîne.
La journaliste était en effet supposée avoir été recomposée par Vincent Balloré après avoir renoncé à riposter en 2016 sur i-Télé. Si la mère de famille n’a pas pris la peine de réagir à ces accusations, son collaborateur Pascal Praud a décidé d’intervenir à sa place dans « L’heure des Praud ». Il sort ses griffes sur C News.
Pascal Praud pousse un gros coup de gueule
Pascal Praud explique ainsi : « Hier, madame Sonia Devillers, éditorialiste à France Inter, a fait des remarques concernant Laurence Ferrari. Elle estime que Laurence a réintégré Europe 1 car elle n’avait pas fait grève en 2016. A l’époque, la rédaction d’iTélé avait interrompu le travail, elle a donc été récompensée ».
Pour défendre sa collègue, le journaliste a confié : « Il ne lui est pas venu à l’esprit (Sonia Devillers NDLR) que Laurence a commencé sa carrière chez Europe 1. Elle réalise ce métier depuis les années 80. Elle a déjà animé le JT de 20h sur TF1 et était aux commandes d’un débat à la présidentielle ».
Le journaliste enchaîne son coup de gueule en soulignant : « Si un homme avait dit pareille infamie, il aurait été jugé de sexiste ou de machiste. Madame Devillers officie à France Inter, elle est rémunérée par nos impôts. Ce qui lui donne tous les droits, y compris d’insulter ou de dévaloriser ses consoeurs ». Reste à savoir comment la principale intéressée va réagir à ces critiques !