L’émission Les Marseillais a déjà vu de nombreux candidats ayant de forts caractères. De plus, ces derniers essayent toujours d’attirer l’attention pour se faire connaître. Seulement, la justice a condamné une candidate qui a poussé la chansonnette un peu trop loin.
La candidate jugée coupable par la justice
Magali Berdah gère la carrière de certains candidats de téléréalité tels que ceux dans Les Marseillais. Et elle vit un calvaire dernièrement. D’une part, elle s’inquiète par rapport à son histoire de harcèlement avec Booba. Et d’autre part, ses clients de l’agence Shauna Events lui mettent aussi des bâtons dans les roues. En effet, la difficulté de gérer des personnes à forts tempéraments nécessite bien des efforts. Pourtant, un fait grave va encore accroître ses déboires. En effet, la justice a condamné une candidate de Les Marseillais dont elle gère la carrière.
Il s’agit de Kim Grou, qui fait régulièrement la une des journaux. En fait, on connaît cette jeune femme souvent à travers ses chirurgies plastiques. Seulement, cette fois, il s’agit d’une convocation au tribunal correctionnel de Toulon. En fait, on la poursuit pour être la principale instigatrice « d’appels téléphoniques malveillants » et « injure publique ». Elle aurait demandé à ses fans de l’aider pour faire une réclamation au sujet d’un colis de mauvaise qualité. Cet appel à l’aide a conduit à d’innombrables appels reçus par son vendeur.
La réaction du défenseur de Les Marseillais pour apaiser le climat
On lui a alors fait la remarque : « Tout le monde a ce genre de tracasserie dans la vie de tous les jours, c’est votre réaction qui n’est pas adaptée ». Et de son côté, elle a essayé de se défendre en disant qu’elle a fait cet appel à l’aide « pour que ça ne recommence plus ». Seulement, le procureur a déclaré :
« Vous avez fait usage de votre notoriété comme si vous étiez au-dessus du lot ».
De ce fait, la justice la condamne à payer 80 euros par jour, soit 5 000 euros jusqu’à la fin de l’année.
Par ailleurs, la jeune femme a accepté sa peine sans faire d’histoire sur les réseaux sociaux. En effet, elle a arrêté ses sorties médiatiques sur les réseaux depuis cet incident. De son côté, son avocat essaye de la défendre du mieux qu’il peut. L’avocat tente tout pour minimiser les reproches qu’on fait à sa cliente en disant : « Une quarantaine d’appels, ce n’est rien du tout ». De plus, la justice n’a pas retenu le délit d’injure en vue de l’ancienneté du dossier.