Des experts atomistes ont changé l’heure de la fin du monde. Ces scientifiques ont pour fonction de déterminer l’ « horloge de l’Apocalypse » ou « Doomsday Clock ». D’après eux, la fin de l’humanité est plus proche qu’on ne le croit.
Les scientifiques ont avancé l’ « horloge de l’Apocalypse »
L’ « horloge de l’Apocalypse » a vu le jour en 1947. Ce sont les experts, ayant travaillé sur la bombe atomique, qui l’a découvert. Ainsi, des scientifiques venant des plus prestigieuses universités américaines ont calculé l’heure de la fin du monde depuis.
Ces experts se basent sur les innovations technologiques, la prolifération des armes nucléaires, la crise climatique et les cyberattaques, pour mesurer l’ « horloge de l’Apocalypse ». Chaque année, la position de l’aiguille peut changer en janvier. C’est pourquoi, les scientifiques mettent à jour la revue scientifique non technique en ligne.
Si l’heure indiquée a toujours été minuit, cela a connu un changement. En effet, les scientifiques atomistes avaient réglé le « Doomsday Clock » à 23 h 57 et 30 secondes en 2017. En janvier 2018, cela a encore changé à 23 h 58. Pour résumer, on peut dire que l’action de l’homme influence l’ « horloge de l’Apocalypse ».
Mise au point d’un radio-réveil apocalyptique ?
Pendant les dernières décennies, le climat a pris une place déterminante dans la survie de la planète. En 2018, nous étions encore à la même heure apocalyptique qu’en 1953. Cependant, Donald Trump a eu certains propos durant la campagne présidentielle aux USA. En effet, son projet d’extension de l’arsenal nucléaire américain, ainsi que son climato-scepticisme, ont inquiété les scientifiques.
Les Accords de Paris sur le climat, la Corée du Nord, et récemment le conflit en Ukraine, tout cela, les experts les prennent en compte.
Par ailleurs, le « Doomsday Clock » a connu une grande évolution. Actuellement, deux citoyens New-Yorkais ont même créé un radio-réveil apocalyptique. C’est une application sur smartphone qui examine les pires scénarios de l’apocalypse en guise d’alarme.