À l’occasion de son entretien avec Nikos Aliagas, Michel Drucker s’est confié sur un effroyable drame. Retour sur cette nuit cauchemardesque vécue par le monstre du PAF lors de son séjour en Normandie.
Michel Drucker aurait vécu un gros traumatisme à l’issue de son séjour en Normandie. Le journaliste de 78 ans aurait été tourmenté sans pitié par un tortionnaire. Une tragédie sur laquelle l’animateur de Vivement Dimanche est revenu le weekend dernier sur le plateau de Nikos Aliagas.
« Michel Drucker, nuit de terreur en Normandie »
Michel Drucker est convié avec Camille Combal, Calogero et Ary Abittan dans « La chanson secrète » qui sera retransmise à partir de ce weekend à l’antenne. Pour l’occasion, un proche du célèbre présentateur lui a réservé une petite surprise. Cette dernière ne concerne néanmoins pas sa chère et tendre femme, Dany Saval, avec qui il est marié depuis plus d’un demi-siècle. Au cours de son interview avec Nikos Aliagas, celui qui vient d’être destitué par Stéphane Plaza au titre de l’animateur préféré des Français a fait des confidences fracassantes.
L’invité du jour s’est livré sur la tragédie révélée il y a quelques semaines par le magazine France Dimanche. En gros titre, l’hebdomadaire avait annoncé : « Michel Drucker, nuit de terreur en Normandie ». C’est ainsi qu’on a appris la mésaventure rencontrée par le producteur. Le principal intéressé a été « tiré de son sommeil » au beau milieu de la nuit. La publication raconte que son tortionnaire n’a fait preuve d’aucune pitié.
Une enfance difficile
Le tortionnaire en question n’est autre que le père de Michel Drucker. Le docteur Abraham, de nature autoritaire, considérait son fils comme le cancre de la famille. « Le petit Michel dérouillait pour un oui ou pour un non », rapporte la publication. Le monstre du PAF enchaîne en soulignant : « Il me réveillait en pleine nuit pour me faire répéter les leçons », raconte-t-il.
Et l’animateur d’ajouter : « Lorsqu’on est réveillé de la sorte de par son père, on est traumatisé. Nul ne guérit de ce genre d’agressivité », souligne-t-il. Au cours de son hospitalisation, le présentateur phare de France 2 est revenu sur cette épreuve douloureuse.
« Le fait que mon père m’ait assommé avec cette question : “Que va-t-on faire de toi” m’a boosté », confesse le septuagénaire. « Lorsque j’étais à l’hôpital, je me suis remémoré des reproches. Aujourd’hui, je lui suis reconnaissant d’avoir été intransigeant. Si je pouvais revenir en arrière, je m’accrocherais aux études », a-t-il conclu.