Dernièrement, un proche de Geneviève de Fontenay a dévoilé des révélations choc concernant Miss France. Des allégations que Sylvie Tellier n’a pas tardé à démentir. On vous dit tout !
Selon les aveux d’un intime de Geneviève de Fontenay, le concours de beauté prendrait la forme d’une téléréalité, retransmise à l’antenne de novembre à décembre… Des déclarations niées en bloc par la directrice du comité Miss France, Sylvie Tellier.
Miss France : une grande série télévisuelle prévue pour 2023
Et si le célèbre concours de beauté Miss France changeait radicalement de concept ? C’est en tout cas ce que suppose Hubert Guérin qui vient de faire des révélations fracassantes sur le sujet. À quelques jours de la sortie de son livre sur l’évolution du concours, l’attaché de presse de Geneviève de Fontenay a fait part de quelques métamorphoses pour la saison 2023. Comme il le souligne : « La production va diffuser une grande série télévisuelle ».
Le proche de La Dame au chapeau continue en précisant : « Une armée de casteurs professionnels se mettra en quête de candidates avec un physique qui passe bien à la télé, une histoire à partager », dans les colonnes de Télé Star. Et l’écrivain d’ajouter : « On parle de jeunes filles qui veulent une vie de princesse. Si on les libère dans la fosse aux lions sans préparation, avec toutes les conséquences désastreuses que ça implique sur les réseaux sociaux, s’en est fini de la magie Miss France ».
Sylvie Tellier associe ces déclarations à de purs mensonges
En d’autres termes, la production mise sur un genre de téléréalité pour sélectionner les prochaines candidates. Le casting sera retransmis « en prime time entre novembre et décembre ». Nos confrères de Gala ont décidé d’interroger Sylvie Tellier pour apporter de la lumière à ces allégations.
Au cours de cet entretien, la blonde de 43 ans a indiqué : « M’exprimer sur de tels mensonges donnera du crédit à une personne qui n’appartient pas à notre entreprise ». Comme quoi, ces révélations ont été faites dans le seul but de créer le « buzz » et de « faire la promotion d’un ouvrage non-officiel », estime la femme d’affaires.