Un mois après la tragique disparition de Jean-Pierre Pernaut, sa femme Nathalie Marquay aurait été abandonnée par ses enfants et plus particulièrement, sa fille Lou. La rédaction de Lacs champagne vous en dit plus dans les prochaines lignes !
« Ce weekend, je suis rentrée voir ma mère… »
Les révélations affirmant que Lou Pernaut aurait lâché sa mère seraient fausses. La jeune femme s’est d’ailleurs mis un point d’honneur à contredire ces rumeurs à travers une publication partagée sur les réseaux sociaux. La fille de l’ancienne Miss France s’est emparée de son compte Instagram pour publier une vidéo d’elle de retour de Paris. La principale intéressée aurait passé le weekend avec Nathalie Marquay.
Dans la vidéo, l’adolescente raconte : « Ce weekend, je suis rentrée voir ma mère, mon petit-ami et ma meilleure amie. Il est temps de se remettre au travail ». À titre de rappel, le magazine Ici Paris a récemment affirmé que la jolie brune de 19 ans était en plein tourment, plusieurs semaines après le décès de son illustre père.
Dans les colonnes de l’hebdomadaire, on apprend que le deuil de l’ancien pape du 13 h a laissé des séquelles chez sa fille. Comme le souligne un expert auprès de nos confrères : « Lou souffre d’une dichotomie entre l’image qu’elle souhaite refléter et ce qu’elle est vraiment. Il s’agit d’une dualité bien connue des psychanalystes ».
Révélations sur le mal-être de Lou Pernaut
Le professionnel enchaîne : « Si le manque tourne en un mal-être psychique, cela engendre une nécessité de paraître plus séduisant. Autrement dit, on se prend pour un miroir pour nous permettre de nous protéger en créant une nouvelle version de nous-même ». Lou Pernaut, quant à elle confesse ses craintes de ne pas être appréciée à sa juste valeur.
« Son inconfort semble concerner l’image qu’elle a d’elle-même. À cela s’ajoute un manque de confiance en soi », conclut la publication. Une chose est sûre : Lou Pernaut n’est pas la seule à souffrir à la suite de la perte de JPP. La veuve du journaliste, elle aussi, est dévastée par le chagrin.