Patrick Sébastien s’est récemment confié au sujet du « lien brutal » avec la fille de son fils, décédé à l’âge de 19 ans. Le point à travers cet article !
Patrick Sébastien reprend du service à l’écran ! Le weekend dernier, à l’occasion de son passage dans « Que du bonheur », il a fait des révélations fracassantes au sujet de sa vie privée. L’ancien animateur phare de France 2 évoque notamment sa joie d’avoir retrouvé sa petite-fille Marie après plusieurs années de silence.
Un lien indéfectible
Depuis qu’ils se sont retrouvés, Patrick Sébastien et Marie sont devenus inséparables. Dans les yeux de sa petite-fille, celui de son fils, Sébastien. Ce dernier a succombé des suites d’un accident de moto survenu à Camargue. Le jour du drame, le père de Marie n’avait que 19 ans. Il n’a pas eu l’occasion de connaître sa fille qui était encore dans le ventre de sa mère à l’époque.
Aujourd’hui, le présentateur du Plus grand cabaret du monde décrit sa petite fille comme sa principale source de bonheur. Depuis leurs retrouvailles, Marie et son grand-père sont devenus très proches. Mais derrière cette complicité, des tensions existent également de temps à autre. Mais pas de quoi gâcher leur lien indéfectible.
D’ailleurs, la jeune femme n’hésite pas à travailler avec son papy. Comme ce fût lors du dernier confinement pendant que la célébrité préparait son nouvel album. À ce propos, l’humoriste de 67 ans a confié à sa petite-fille : « J’adore travailler sur ces albums. Je m’éclate avec les musiciens. On travaille en s’amusant ».
« Je ne pourrai jamais être son père »
Originaire de Brive-la-Gaillarde, en Corrèze, Patrick Sébastien habite dans ce côté de la France avec sa femme Nathalie et sa fille adoptive Lily. Malgré tout, il fait tout son possible pour être présent pour Marie. Comme le souligne le père de famille : « Elle est née en janvier et c’est sa maman qui s’est occupée d’elle », dans les colonnes de Paris Match.
Le réalisateur enchaîne en ajoutant : « Lorsqu’elle est venue ici pour la première fois, elle faisait les conneries des ados de 18 ans. Elle prétendait tout savoir et jugeait tout ». La principale difficulté pour l’impressionniste réside dans le fait de conserver sa place en tant que grand-père, et non de papa. Lui, qui est encore affecté par la mort de son fils, a du mal à équilibrer ce genre de relation familiale.
« C’est de l’amour intense. Un lien extrêmement brutal. Il faut cependant que je fasse attention, car je ne pourrai jamais être son père », a-t-il conclu. Au mois de décembre dernier, Sébastien Boutot aurait fêté ses 50 printemps s’il était encore parmi nous. Heureusement, le grand-père et sa petite-fille peuvent traverser cette épreuve difficile la main dans la main…