Pauline Ducruet a appris une belle leçon après que ses ferveurs ont été calmées par le Prince Albert II. Retour sur cette importante mise au point concernant les ragots sur Charlène de Monaco.
Alors que Charlène de Monaco est toujours absente du Rocher, les ragots continuent de courir à son sujet. Pour calmer les ardeurs de Pauline Ducruet, le Prince Albert II a dû prendre les choses en main. Le point à travers cet article !
Mise au point cash d’Albert II
Après avoir été recadrée par le Prince Albert II, Pauline Ducruet a appris une belle leçon. Depuis, la styliste de 27 ans se donne corps et âme pour défendre le Rocher. A l’occasion d’un récent entretien, la fille de la princesse Stéphanie de Monaco a confié qu’elle se sentait à l’étroit au Palais princier de Monaco.
Comme elle le souligne : « Ce qui m’angoissait le plus, c’était la petitesse. Rapidement, je me suis sentie à l’étroit. Au sein de la Principauté, lorsqu’on a fait trois restaurants et deux cafés, on a fait le tour », avait-elle expliqué. Des déclarations reprises cette semaine par nos confrères de France Dimanche.
Le recadrage du père de Jacques et Gabriella ne s’est pas fait attendre. Le Souverain a rappelé les membres de la famille princière et les Monégasques à leurs obligations. « Être Monégasque, c’est aussi avoir des droits et des devoirs (…). Cela implique de faire honneur à son pays », avait-il lâché dans les colonnes de Monaco-Matin.
« Je suis parfaitement au courant de ce qu’il se passe »
La leçon semble avoir été transmise car Pauline Ducruet n’a pas hésité à défendre la Première Dame, devant ses problèmes de santé. Interrogée au sujet de Charlène de Monaco, la styliste a confié que les rumeurs de tensions conjugales au sein de son couple sont de pure « intox ».
« Je suis parfaitement au courant de ce qu’il se passe », a confié Pauline Ducruet. « Je n’ai pas besoin de lire les actualités pour comprendre ce qu’il se passe. À chaque fois que les yeux sont rivés vers la famille, je sais très bien quel est l’objectif recherché », a-t-elle conclu.