A 79 ans, ce retraité, considéré comme « mort » vient de dévoiler le cauchemar qu’il a vécu en se retrouvant dans l’obligation de rembourser ses pensions de retraite.
Déclaré « décédé », ce retraité septuagénaire a vécu un véritable enfer de son plein vivant. Un malentendu qui l’a plongé dans de nombreux tourments avec sa famille. On vous raconte tout !
Un retraité encore vivant déclaré « mort »
Ce retraité originaire d’Ozouer-le-Voulgis s’est récemment retrouvé dans une situation compromettante. A 79 ans, il est déclaré mort alors qu’il est toujours en vie. La nouvelle a fait l’effet d’une bombe auprès de Daniel Galland lors d’une consultation médicale de routine. « Alors que je me suis rendu chez le médecin, ça n’a pas marché », explique-t-il dans les colonnes d’Actu.fr. Le jour suivant, son médecin lui explique qu’il est qualifié comme « mort ».
C’est le début du calvaire. Comme le souligne le principal intéressé : « ça a débuté lors des visites médicales. Je n’ai plus reçu de remboursement ni sur les consultations ni sur les médicaments ». Et le retraité d’ajouter : « Il a été demandé à mes héritiers de procéder au remboursement d’environ 5 mois de pension…C’est infernal surtout pour une personne qui a démarré sa carrière dès 13 ans », sur une note d’indignation.
Un faux-pas aux conséquences traumatisantes
Face à l’ampleur de la situation, Daniel Galland a décidé de démontrer sa bonne foi. « J’ai pris contact avec la Mairie mais elle assure ne pas avoir reçu d’acte de décès. Elle a alors délivré un document prouvant que je suis toujours en vie », poursuit-t-il dans son témoignage. Mais cela n’a pas suffi à remédier à la situation.
Le retraité précise : « On remet divers dossier ici et là sans aucune nouvelle de retour ! Entre temps, je suis ruiné et le pire c’est que je ne peux plus accéder à mes médicaments. C’est honteux car je n’y suis pour rien ! ». Selon un membre de l’Agirc-Arrco, ce type d’erreur est rare dans les faits : « Dans 99% des cas, les procédures se passent normalement ».