Le PAN est un réseau international d’organisation non gouvernementale, amoureux de la nature. Il possède environ 600 organisations éparpillées dans 90 différents pays. Son objectif est de débusquer les agriculteurs qui utilisent des pesticides ou des produits toxiques.
Pesticides : la pénurie pousse les agriculteurs à son utilisation
Si nous pensions revenir sur des bases plus saines après deux années de pandémie, le contraire se produit. Certains agriculteurs utilisent des pesticides pull-larigot, pour essayer de faire des économies dérisoires. Cela, surtout après la récente pénurie de moutarde et d’huile d’olive. En total, un tiers de la nourriture pousse probablement dans un sol contaminé.
Si l’agriculture biologique veut être rassurante, certains ménages ne peuvent pas se permettre d’acheter certains fruits et légumes. De nombreuses familles sont à découvert dès le 5 du mois. Elles ont dû se contenter des promotions en supermarchés. La Belgique (34%), l’Irlande (26%) et la France (22%) sont les trois premiers pays qui utilisent le plus de pesticides. L’Espagne refuse que les enquêteurs testent ses productions.
Les fruits qui possèdent une peau sont les plus susceptibles
D’une part, nous allons parler des fruits. Les abricots, les pêches, les mûres, les cerises et les fraises contiennent le plus de pesticides. Quant à la pomme, contrairement à ce que l’on peut penser, elle se met en première position.
D’autre part, pour les légumes, les pesticides ont envahi le chou frisé, le céleri, ainsi que le navet. En tant que présidente de l’Union européenne, nous espérons que la France saura se faire respecter et se faire entendre pendant les réunions. Un débat sur ce sujet devrait avoir lieu.