Depuis qu’elle a posé ses valises à Paris, Laeticia Hallyday « néglige » son chéri, Jalil Lespert. Pourquoi ce désintérêt soudain de la veuve envers son nouveau compagnon ? On vous dit tout !
Depuis quelques jours, Laeticia Hallyday a fait le voyage depuis Los Angeles pour s’installer dans la capitale française. Malheureusement pour Jalil Lespert, elle l’a laissée un peu de côté. En effet, la veuve de Johnny Hallyday a une priorité plus importante pour le moment : régler ses ennuis avec le fisc. Le point à travers cet article !
Laeticia Hallyday dans la tourmente
Depuis qu’elle est à Paris, Laeticia Hallyday est tourmentée. En effet, elle a encore plusieurs millions de dettes à régler auprès du fisc. Selon le magazine Closer, la jolie blonde de 46 ans a enchaîné les rendez-vous avec sa comptable et ses avocats. L’objectif : rallonger le délai de remboursement le plus longtemps possible, pour s’assurer que la situation tourne en sa faveur.
Comme l’a souligné la mère de Jade et Joy dans les colonnes de Paris Match il y a quelques mois : « Il y a du patrimoine, peu de liquidités et énormément de dettes ». En effet, suite à la disparition tragique du Taulier, le chanteur a légué l’ensemble de son héritage à sa femme. Cette dernière doit en parallèle régler toutes ses dettes.
« Un héritage trop lourd à porter… »
Pour éviter la banqueroute financière, Laeticia Hallyday a décidé de jouer sa dernière carte. Après avoir cédé leur villa à L.A pour 15 millions d’euros, la belle-mère de David Hallyday en a encore pour 30 millions d’euros à rembourser auprès du fisc. Celle qui file le parfait amour depuis juillet, aux côtés de Jalil Lespert, a enclenché la procédure de sauvegarde.
Résultat, elle dispose d’un délai maximal de 10 ans pour rembourser l’intégralité de ces dettes. Un délai qui te ferait lui suffire pour rassembler l’argent nécessaire. En attendant, elle a placé sa villa de Marnes-la-Coquette, située à Paris, sur le marché immobilier. La fille d’André Boudou espère pouvoir en tirer au moins 12 000 €. Dans sa publication, le magazine Closer conclut : « L’héritage de Johnny est visiblement trop lourd à porter ».