Un détail en particulier a récemment interpellé les clients de Primark qui ont eu droit à des messages surprenants repérés dans les poches de certaines tenues. Le point à travers cet article !
L’ouverture d’un nouveau point de vente Primark dans la ville de Brest a récemment créé le buzz. L’inauguration a été déstabilisée à cause d’une manifestation des militants de l’Extinction Rebellion.
Une ouverture perturbée
A la suite de la polémique liée au Rana Plaza il y a plusieurs années, Primark se retrouve dans le viseur des militants écologistes en quête d’un modèle économique durable sur le long-terme. La célèbre marque de prêt-à-porter est pointée du doigt pour accélérer le phénomène de « fast-fashion » en encourageant les clients à changer régulièrement de tenues. De quoi occasionner du gaspillage.
Une mode de consommation qui ne fait guère l’unanimité auprès de certaines associations. De quoi plonger l’enseigne au cœur de la polémique. Cela ne l’a pas pour autant empêché de lancer une nouvelle boutique à Brest. Mais les choses ne se sont pas passé comme prévu. A titre informatif, Extinction Rebellion milite pour le combat contre l’effondrement écologique et les changements climatiques.
Primark ciblée par des militants écologistes
Les militants de ce mouvement visent Primark en raison de son modèle jugé « polluant ». Ce qui a causé quelques perturbations lors du lancement du magasin. Ainsi, les grévistes ont déposé plusieurs centaines de messages dans les articles vendus par le magasin. De quoi mettre les puces à l’oreille des dirigeants de Primark qui ont compris que ces-derniers n’appréciaient pas le modèle du « fast-fashion ».
Dans les messages en question, on peut lire : « Coton = 2,5% des terrains agricoles et 16% des pesticides utilisés partout dans le monde ». Les vêtements concernés sont également dotés d’un QR code qui donne directement lieu à un manifeste consacré à la lutte contre la fast-fashion. Malheureusement pour l’enseigne, l’ouverture n’a pas réuni la foule attendue avec seulement 400 visiteurs contre 2 500 au mois de décembre dernier à Angers.