Dans peu de temps, c’est la rentrée. Après ce mois d’août, les enfants reprendront la route d’école. Pour les parents qui ont dépensé beaucoup pour les vacances, cette rentrée risque d’être difficile. Heureusement, on a la prime de rentrée. Découvrez comment en bénéficier.
Une aide pour les parents
Depuis des années, l’État accorde une aide sociale, nommée « prime de rentrée ». Cette aide a pour but d’appuyer les écoliers français dans leur inscription scolaire.
Pour rappel, cette allocation concerne un versement de 100 euros par famille. Toutefois, ce n’est pas tout le monde qui peut en bénéficier. En effet, seulement 3 millions de foyers ont pu en bénéficier les années précédentes. Pour cause, la CAF a toujours privilégié les foyers les plus modestes. Néanmoins, en raison de la situation actuelle, l’État a introduit cette aide dans la nouvelle loi de pouvoir d’achat.
Prime de rentrée : Les nouveaux changements
Même si cette aide a fait l’objet d’une restructuration, les conditions n’ont pas changé pour autant. En effet, la prime de rentrée est toujours versée chaque année pour les parents ayant des enfants scolarisés en France. Le changement concerne surtout le cercle de bénéficiaires. Rassurez-vous, c’est à la CAF de s’en charger.
Pour plus de précision, la prime ne sera plus réservée aux familles modestes. Aussi, tous les abonnés à des aides sociales venant de la CAF pourront en profiter. De plus, à partir de cette année, la somme sera majorée selon le nombre d’enfants dans le foyer.
Il semble que la hausse serait à 50 euros par enfant. Cependant, quelques critères sont à remplir pour pouvoir prétendre à cette aide.
Les critères d’éligibilité
Le ministre de la Finance a donné des informations à ce sujet. D’ailleurs, le plateau de RTL l’a accueilli le jeudi, 4 août dernier. Il a indiqué que cette aide a aussi pour but de financer les courses alimentaires des parents.
Pour en bénéficier, vous devez être parent en France et avoir la garde de votre enfant à la maison, être un salarié modeste et être inscrit à des aides sociales. Comme les RSA, l’allocation spécifique de solidarité ou l’APL.
Si vous remplissez les conditions, n’attendez plus !