Quels placements choisir pour profiter d’une exonération d’impôts ?

Comment bénéficier d’une meilleure rentabilité et une exonération d’impôts lorsqu’on réalise des placements financiers ? C’est ce qu’on vous propose de découvrir en consultant l’article qui suit. Rendez-vous dans les prochaines lignes !

Maximiser ses profits en imposition : les atouts des livrets d’épargne

Pour profiter d’une réduction d’impôts, il est primordial de choisir les bonnes options lors du prélèvement. À ce propos, les livrets d’épargne offrent plusieurs avantages non négligeables, notamment sur le plan fiscal. En effet, les contribuables ont droit à une exonération sur les plus-values par exemple. En échange, ils procurent une faible rentabilité.

Voici les livrets qui bénéficient d’une exonération lors de l’imposition :

  • Le livret Adont le plafond est fixé à 22 950 € pour les particuliers. Notons que le taux d’imposition de 0,50 % est valable depuis le mois de février 2021.
  • Le livret développement durable et solidaire (LDDS) avec un seuil fixé à 12 000 € suivant un taux de à 0,5 %
  • Le livret d’épargne populaire (LEP) dont le montant pour le dépôt ne doit pas dépasser 7 700 € avec un taux annuel équivaut à 1 %
  • Le livret jeune plafonné à 1 600 € dont le taux d’intérêt est fixé par l’établissement bancaire. Celui-ci doit cependant respecter le taux plancher de 0,75 % défini par les autorités.

Rentabiliser ses placements et bénéficier d’une exonération d’impôts

Plusieurs choix s’imposent lorsqu’il s’agit de rentabiliser les placements tout en voulant bénéficier d’une exonération d’impôts. D’une part, le plan d’épargne retraite (PER) procure une fiscalité différente grâce au processus de report. Les versements effectués au cours d’une année sont déduits des revenus imposables suivant un plafond déterminé. Plus le taux d’imposition est important, plus l’économie sera élevée.

D’autre part le plan d’épargne en actions (PEA) dédié aux petites et moyennes entreprises offre une exonération complète sur le revenu en dehors des prélèvements sociaux. Au bout de 5 ans, les gains sont exonérés sur le revenu net de l’entreprise. Avant ce délai, le taux d’imposition est fixé à 30 % incluant les prélèvements.

Enfin, l’assurance-vie représente une alternative de choix, car au cours des huit premières années, le souscripteur a droit au prélèvement forfaitaire. Il profite d’un flat tax de 30 % ou d’un prélèvement libératoire au taux variable.

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