Si vous bénéficiez d’une retraite complémentaire, vous pouvez être concerné par les décisions d’un organisme particulier. Capital a indiqué qu’elle devrait être revalorisée à 5,1% à partir du 1er janvier, alors que la CGT réclamait 6,2%.
Retraite complémentaire : pourquoi une revalorisation ?
Ce qui a amené la grande revalorisation des pensions de retraite est simplement l’inflation. En fait, ce scénario d’appel d’offres ne devrait pas surprendre. Ce phénomène économique, l’inflation, a augmenté le coût de la vie au cours de l’année et nécessite des mesures complémentaires.
Pour comprendre la situation, nous devons voir comment fonctionne l’application du taux. Les chiffres divulgués sont conformes aux règles de réévaluation dans l’accord interprofessionnel de 2019. Cependant, l’augmentation est déterminée “en fonction du salaire annuel moyen des ressortissants du régime, dans le cas où l’inflation est supérieure au salaire moyen. Ce qui est le cas actuellement”, a déclaré Capital. À cet égard, le calcul est immédiatement faisable.
Le calcul du taux des complémentaires
Dans le secteur privé, l’augmentation des salaires atteint 4,8 %. Ajoutez à cela un « rattrapage » de 0,1 % par rapport à l’année précédente. Ainsi qu’une aide exceptionnelle de l’organisme de 0,2 %, et vous obtenez un résultat de 5,1 %.
Le Monde déclare une hausse très controversée entre patronat et syndicats avant d’arriver à ce résultat. Pour cause, l’Agirc-Arrco marche sur des charbons ardents. Par conséquent, il est impératif de respecter le régime financier et l’obligation de retenir 6 mois de pension sur 15 ans. Assurément une « règle d’or » à considérer, rapporte BFMTV.
Quel est le montant de cette revalorisation ?
Bien que cela puisse sembler peu, la réalité est que 13 millions de personnes seront touchées par cette réévaluation. Cela dit, le montant total des pensions s’élève désormais à environ 84 milliards d’euros par an.
L’augmentation n’est donc pas négligeable, avec des dépenses annuelles bondissant dans ce sens de 4,2 milliards, indique BFMTV. De plus, le Conseil devra accorder ce taux de 5,1 % avant l’adoption finale le 6 octobre. “Ce qui doit être une formalité”, affirme un syndicaliste.