RTT non pris : voici comment faire pour les convertir en argent !

Une nouvelle réforme a été inscrite dans le dernier projet de loi de finances rectificative. Il s’agit de pouvoir monétiser les jours de RTT non pris.

Convertir les jours de RTT ou « Réduction de temps de travail » non pris

Une nouvelle mesure sur les jours de RTT vient d’apparaître. En effet, on peut dorénavant les monétiser au lieu de les perdre. Désormais, le projet de loi de finances rectificative a adopté cette réforme.  Le journal quotidien « Le Figaro » a énoncé dans ces colonnes : « Cette mesure a été largement soutenue par les députés LR. Et cela, même si la gauche s’y est opposée. Avec cette réforme, chacun est maintenant libre de choisir ce qu’il veut de ses RTT ». Autrement dit, convertir les jours de RTT en temps ou en argent.

Les députés LR appuient la nouvelle mesure

D’un côté, Thibault Bazin, un député LR, a soutenu que c’est un moyen de « mieux récompenser le travail et le mérite. Et d’augmenter les salaires nets des Français ».

D’un autre côté, Véronique Lowagie, un autre député LR, a affirmé que la monétisation possible des RTT devrait aussi « aider les entreprises confrontées à des difficultés pour recruter ».

Pour sa part, Pierre-Henri Dumont, le député LR, a confirmé que : « c’est une mesure qui a l’avantage d’être efficace tout de suite ». Il a ensuite ajouté : « de ne rien coûter à l’État et de ne faire que des gagnants… Les entreprises et les salariés ».

Manifestement, la monétisation de la RTT est une bonne chose pour les travailleurs. On peut conclure que la nouvelle mesure fait l’unanimité des députés LR.

RTT : l’opinion des députés LFI

À titre informatif, le rachat de la RTT se base sur l’engagement du travailleur. En effet, le travailleur doit faire une demande d’autorisation à son employeur. Il s’agit, particulièrement, des jours de RTT non pris et acquis entre le 1er janvier 2022 et le 31 décembre 2023. Par ailleurs, le plafond est fixé à 7500 € annuel pour toutes les sociétés. Cependant, l’efficacité de cette mesure n’a pas captivé les députés de Nupes.

« Cela revient à attenter à la vie de famille et à la santé des travailleuses et travailleurs », a énoncé Hadrien Clouet, un député LFI. « Un droit aussi fondamental que celui au repos ne doit pas être à vendre », a-t-il continué.

D’ailleurs, François Ruffin, le député LFI, souligne que : « ce qu’il faut, c’est relever le salaire minimum », au moins à 1500 €.

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