Toujours dans le but de combler cette inflation qui s’abat sur les Français, de nouvelles mesures sont mises en place. Découvrez toutes les revalorisations disponibles dès le début du mois d’août.
Nouvelles mesures : le Smic en augmentation
Que les travailleurs rémunérés au minimum autorisé se réjouissent ! Effectivement, le Smic va connaître une revalorisation dès le 1er août. La forte hausse de l’inflation a joué un rôle dans la décision du gouvernement. Cela engendrera l’augmentation inévitable du salaire minimum. Sans cela, bon nombre de Français perdront leur pouvoir d’achat.
Ainsi, le Smic va subir une hausse de 2,01% à partir du mois d’août. Autrement dit, la somme mensuelle du Smic à 1 302,64€ va passer à 1 339,06€. Soit une hausse de 8,58 € ou 8,76 € de plus.
Taux du livret A
Aussi, le taux de rendement du livret A va être revalorisé à 2% en août. Visiblement, c’est une hausse notable depuis 11 ans. L’explosion du coût de la vie a conduit à cette décision. Parallèlement, le livret de développement durable et solidaire va aussi atteindre les 2%. En outre, le livret populaire va passer de 2,2% à 4,6%. Une croissance plus importante que les deux autres.
Nouvelles mesures : l’aide à la pompe à essence
L’aide au carburant, qui était censé prendre fin ce mois de juillet, a été revue. En effet, la remise de 18 centimes va être prolongée jusqu’à la fin du mois d’août. Ce temps additionnel a pour objectif de “contenir l’impact de la flambée des prix des carburants à la pompe”.
Par ailleurs, ce qui va se passer à la rentrée n’est pas encore décidé. En attendant, cette aide à la pompe limite les dégâts pour la fin de cet été.
Fin de l’état d’urgence
L’état d’urgence sanitaire du premier confinement a été déclaré en mars 2019. Cela a eu pour conséquence l’atteinte et la restriction des libertés les plus fondamentales des citoyens. Le droit de déplacement en fait partie. Prenons, par exemple, la jauge dans les lieux publics, les confinements et couvre-feux.
Heureusement, cet état d’urgence a pris fin après plus de 3 ans. Aussi, le Conseil scientifique s’est rompu. Le “comité de veille et d’anticipation des risques sanitaires” a pris sa place. Ainsi, le gouvernement n’exige plus ni règles, ni confinement, ni couvre-feu.