TPMP : Delphine Wespiser ne veut entendre aucune excuse !

Le 21 septembre dernier, à l’occasion de la journée mondiale de la paix, Cyril Hanouna a réclamé la paix au sein de son équipe dans TPMP. Cependant, Baba n’avait remporté qu’un demi-pari, car il a réussi son coup pour Géraldine Maillet et Béatrice Rosen. En effet, les deux femmes ont même fini par s’embrasser. En revanche, pour Delphine Wespiser, l’animateur n’a rien pu faire.

Gilles Verdez : « Je m’en excuse, je n’ai pas été assez clair, Delphine »

Souvenez-vous, Delphine Wespiser a pris la partie de Marine Le Pen lors des élections présidentielles. Une prise de position qui lui a coûté cher en termes d’insultes et de menaces. Ainsi, l’émission a mis à l’écart l’ancienne reine de beauté. De plus, ses collègues de TPMP l’ont laissé tomber en prenant leur distance. Par conséquent, la chroniqueuse s’est retrouvée toute seule face à la polémique.

Il faut dire que Delphine Wespiser a pris leur réaction comme une trahison. C’est pour cela que Cyril Hanouna a profité de la journée mondiale de la paix pour renouer les cordes. Malheureusement, cela n’a pas eu de réussite. Il paraît que la jeune femme a une mémoire d’éléphant et une rancune sans égal. Demander pardon ou pardonner n’est pas quelque chose de facile. Pourtant, Gilles Verdez a présenté ses excuses à l’ancienne Miss.

« Lorsque vous avez pris des positions très tranchées, nous vous avons laissé tomber (…) j’ai essayé de vous soutenir et vous m’avez dit un jour ‘Quand tu parlais, ton langage corporel te trahissais, tu n’avais pas l’air de croire à ce que tu disais’. Eh bien, je m’en excuse, je n’ai pas été assez clair, Delphine, vous avez le mérite de prendre des positions claires, fortes, j’aurais dû plus être à vos côtés, maintenant, je serai avec vous », a avancé Gilles Verdez.

TPMP : Delphine Wespiser ne veut pas lui pardonner

Malgré les efforts de Gilles Verdez, Delphine a maintenu sa position. À dire que l’ex-Miss a la rancune tenace. D’abord, elle a commencé à lancer : « C’est vrai que cette période, j’ai essayé de l’oublier, j’ai plus ou moins réussi. Gilles, tu soulèves et tu ravives des souvenirs en moi et c’est juste qu’à cette période-là où clairement tout le monde m’avait lâché ».

Ensuite, elle poursuit en disant : « Je crois savoir que j’ai donné une interview qui disait : Quand on a des collègues comme ça, on n’a pas besoin d’ennemis. Alors tout simplement pour cette période et à tous… »

Dans la foulée, la chroniqueuse a agité un drapeau noir, signe qu’elle n’est pas près d’enterrer la hache de guerre avec ses collègues. De plus, Gilles Verdez en a rajouté une couche en déclarant que certains membres de l’équipe continuent à se moquer d’elle « en coulisses ou sur le plateau ». À croire que dans les airs du plateau de TPMP plane l’hypocrisie.

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