Mauvaise nouvelle pour Vincent Niclo. Anéanti, le chanteur d’opéra français vit un cauchemar éveillé ces derniers jours. Mais que s’est-il passé ? On vous raconte tout !
Le célèbre ténor Vincent Niclo fait actuellement face à une épreuve difficile. Le chanteur affronte le deuil de son père avec qui il s’entendait à merveille. Une disparition tragique qui l’a plongé dans une profonde tristesse. Aujourd’hui encore, l’artiste émérite a du mal à s’exprimer sur ce drame à cœur ouvert.
Vincent Niclo dévasté
Dans son édition de cette semaine, le magazine France Dimanche met la lumière sur Vincent Niclo. Des confidences poignantes relatives à la vie privée de la star ont été révélées par l’hebdomadaire. Selon nos confrères, la disparition tragique de son papa a anéanti le chanteur, qui était au bord de la dépression. Pour ses proches, l’angoisse était maximale et son état empirait de jour en jour.
« Désolé d’avoir été absent. Ça fait deux jours que j’ai le cœur lourd. Celui qui m’a tout enseigné est parti. Je suis anéanti. Mon père symbolisait tout pour moi », a-t-il confié sur Instagram. D’ailleurs, le célèbre ténor à la voix d’or est très actif sur les réseaux sociaux. Cette perte a créé une véritable amertume pour l’artiste qui ne s’attendait pas à ce que son père décède aussi subitement.
Une complicité père-fils exceptionnel
À l’occasion de son passage sur le plateau de Vivement Dimanche, Vincent Niclo s’est exprimé sur ce drame avec beaucoup d’émotions. « Il interprète un répertoire très éclectique, des chansons populaires françaises. Il m’a également donné l’envie d’écouter Elvis Presley, Mariano Luis… Il a énormément travaillé avec l’accordéoniste Aimable. Il est à la fois saxophoniste, batteur, interprète… », a-t-il poursuivi.
Il faut dire que Claude Niclo représentait tout pour le jeune homme. Il voue à son père une éternelle reconnaissance. Comme le souligne l’artiste de 46 ans : « À travers moi, il vit des choses formidables. Ensemble, on discute de tout et de rien. Il est doué pour faire de la musique et réaliser des spectacles », a-t-il expliqué.
« Je lui suis éternellement gratifiant, car à 5 ans, il m’avait enseigné le solfège. Je réalisais déjà des duos avec lui. Il ignorait que j’allais me pencher vers le chant classique. Ce qui est amusant c’est que je ne revenais que pour les vacances, de temps à autre. À chaque fois qu’on se voyait, je faisais des répétitions dans la chambre. Il est entré et il m’a dit : “Mais c’est toi qui chante comme ça ?”. Il ne m’avait jamais entendu chanter avec la voix lyrique auparavant », a-t-il conclu.
